donc d’une affaire médicale, alors même que le droit suisse autorise tout un chacun à aider quelqu’un à mourir.
Il y a, bien sûr, une certaine marge de manœuvre selon la souplesse du médecin prescripteur. Les différentes organisations travaillent avec différents médecins qui ont tous leur individualité propre. On ne s’étonnera pas que certains soient plus souples et plus compréhensifs que d’autres.