L’ESSENTIEL Mes Sorties.
Industry Capital, 20/10/2011, Paris Cogit LGC, un client satisfait
L
e 20 octobre matin, Industry Capital a organisé un petit déjeuner en partena- riat avec Supply Chain Magazine.
Alphadio Olory-Togbe, Président d’Industry Capital, a rappelé la mission de sa société : permettre aux industriels de conserver leur capacité d’investissement pour leur cœur de métier en louant ce qui peut l’être. Il a ensuite présenté deux solutions proposées par IC baptisées FlowsRental (solutions de location de tout type de contenants réutili- sables plastique ou métal) et ProcessRental (contrat de ser- vice pour mise à disposition d’un équipement d’automati- sation pour entrepôt). Gilles Raluy, Président de Cogit LGC est venu ensuite témoigner de l’aide que lui a apporté Indus- try Capital dans le cadre d’un contrat remporté auprès d’un grand distributeur pour la mise à disposition de bacs
plastiques avec étiquettes RFID dans le domaine du frais. « Notre société, créée en 1997, réalise un CA de 3 M€. Or, pour inves- tir dans un parc de bacs plastiques tel que requis dans ce projet, c’est 7 à 8 M€, voire 15 M€ qu’il fallait pouvoir investir. Grâce à Industry Capital, nous avons pu avoir une grosse capacité de financement sans l’assise financière équivalente, ce que nous n’au- rions pas obtenu d’une banque », explique Gilles Raluy, de la plus petite des trois socié-
Franck Gaudry et Alphadio Olory-Togbe (Industry Capital), Gilles Raluy (Cogit LGC) et Nicolas Perri (Industry Capital) face à un public attentif.
tés en compétition sur cet appel d’offres. « Ce n’est pas magique, s’empresse d’ajouter Franck Gaudry, Direc- teur du Développement d’IC. Le fait que le client final soit très important nous permet d’aller voir les banques et de défendre le pro- jet en obtenant des conditions plus intéres- santes. » Et Alphadio Olory-Togbe de préciser une différence fondamentale d’In- dustry Capital avec les offres classiques de Crédit bail : « En crédit bail, l’objectif est de louer dans un premier temps pour prendre possession du bien à la fin du contrat. En fait, dans le cadre des projets que nous accompagnons, l’in- térêt de louer pour sortir ce poste du bilan reste souvent vrai au-delà de la première période du contrat. » ■ CP
Gilles Raluy,
ECR France, 20/10/2011, Paris Zéro rupture : des avancées dans le non alimentaire aussi
ne centaine de participants ont assisté à la matinée de conférences organisée le 20 octobre matin par ECR et Sym- phonyIRI sur le thème « Zéro rupture : mode d’emploi ». Après présentation de la nouvelle méthodologie et des résultats clefs du baromètre ECR-SymphonyIRI sur le taux de service en linéaire, Coca Cola a illustré son utilisation. Le nouveau site www.zerorup-
turemodedemploi.com a été lancé officiellement par Eva Alcaïdé (Auchan) et Mathieu Roussel (Unilever). Enrichi au fur et à mesure, ce site vise à aider les distributeurs et les industriels à hiérarchiser les actions à mener pour améliorer la disponibilité en linéaires des produits. Trois exemples sont venus concrétiser ces discours. Séve- rine Geoffroy de Yoplait a fait un brillant exposé sur la méthode merchandising bottom up préconisée par le fabricant de yaourts pour réduire les ruptures en linéaire et augmenter la disponibilité des produits consommés. Benoît Moreau de Carrefour Belgique a de son côté démontré comment la RFID peut réduire les ruptures en linéaire pour les produits textile, culturel... et plus largement en non
U
alimentaire. Le fait de taguer chaque UVC a mis en évidence les erreurs d’étiquetage en récep- tion fournisseur, la lenteur effective de certaines mises en rayon depuis la réserve magasin et a facilité les inventaires, donc le recalage des stocks en magasin. Enfin, Laurent Chevreux d’AT Kearney et David Bordigoni de Point P ont montré comment une cartographie des produits croisant leur disponibilité en linéaire et leur taux de rotation a permis d’augmenter le CA et la marge de maga- sins en augmentant le nombre de références disponibles tout en réduisant les quantités par références. Des études passionnantes qui montrent que les taux de rupture peuvent être finalement réduits si l’on agit d’un point de vue stratégique en affinant le merchandising par magasin mais aussi exécutif, en traquant quotidiennement les dérives entre le théorique et le réel... ■ CP
Séverine Geoffroy
Xavier Hua, Directeur d’ECR Europe et Benoît Moreau, Responsable de projets, Carrefour Belgique
20 N°59 ■ SUPPLY CHAIN MAGAZINE - NOVEMBRE 2011
David Bordigoni, Directeur Marketing Point P Ile de France et Laurent Chevreux, Vice Président AT Kearney France.
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