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L’ESSENTIEL Mes News.


Oliver Wight, Aimms et Districon s’associent


Spécialiste de la Supply Chain, Oliver Wight a joint ses forces à deux autres entreprises, Aimms et Districon pour offrir une solution unique et intégrée d’optimisation des Supply Chains. Oliver Wight transfère son expertise de conception et d’optimi- sation des Supply Chains, tandis qu’Aimms et Districon proposent des solutions techniques éprouvées. Les Brookes, PDG d’Oliver Wight EAME, explique : « Les organisa- tions d’aujourd’hui doivent être capables de réagir rapidement et de manière intelligente afin de répondre aux attentes d’une Supply Chain qui ne cesse de changer, ceci pose des défis aux niveaux stratégiques, tactiques et opérationnels. L’optimisation complète, du début à la fin,


est essentielle pour obtenir la meilleure valeur possi- ble d’une Supply Chain. Ce partenariat permet à nos clients de transformer l’ensemble de leur Supply Chain et de renforcer les synergies entre les hommes, les processus et les outils dans le but d’élever leur niveau de performance ». ■ JPG


Xavier Urbain ou le nouveau challenge de Ceva Logistics


I


l ne pensait revenir en logistique. Après avoir dirigé de grands groupes internationaux, Xavier Urbain avait quitté K+N pour voguer vers de nouveaux horizons. Mais fin 2013, le fonds Appolo Global Manage-


ment est venu le chercher pour lui proposer la direction monde de Ceva Logistics, un groupe d’environ 50.000 collaborateurs répartis dans 160 pays. « Les dirigeants cherchaient un Manager à l’aise dans la finance comme dans la logistique. Or, nous ne sommes pas très nombreux à avoir ce profil », confie-t- il avec amusement. L’une de ses premières missions a été de restructurer la dette qui pèse sur la gestion de l’entreprise : « Nous sommes une entreprise rentable (214 M€ d’Ebitda en 2013) mais nous souffrons d’un lourd endettement. Aussi avons-nous renégocié l’éche- lonnement du remboursement et repoussé son échéance de 2016 à 2021 ». Pour développer l’entreprise, Xavier Urbain souhaite « booster la croissance interne sur les quatre métiers du groupe (logistique, aérien, maritime et route), et renforcer ses positions en Asie ainsi que dans le secteur Oil & Gas en Afrique ». Son objectif est de remettre l’entreprise sur les rails et d’en faire « un vrai Global Player de taille moyenne, sérieux, respecté et pro-


fessionnel ». Puis d’ajouter : « Une autre volonté est de rester proche de nos clients et de développer un fort esprit entrepreneurial ». Pour la France, le CEO a bien conscience qu’il existe encore une marge de progression : « Notre présence y est déséquilibrée par rapport aux autres pays. Nous allons réinvestir dans la force de vente et développer davantage l’aérien et le maritime ». Par ailleurs, il affirme ne pas envisager d’opération de crois- sance externe. Du moins pour le moment. Mais sait-on jamais avec ce dirigeant si imprévisible ? ■ JPG


Zebra rachète M


Motorola Enterprise Business


otorola Solutions annonce la vente pour 3,45 Md$ (2,49 Md€) de sa division Motorola Enterprise Business, qui comprend les terminaux durcis (dont la marque Psion) à Zebra technologies. Selon son CEO,


Anders Gustafsson, « cette acquisition devrait accélérer la convergence des tech- nologies de mobilité, d’analyse de données et de solutions dans le cloud, fai- sant de Zebra un acteur incontournable. L’entreprise fournira ainsi plus de valeur à ses clients et à ses actionnaires ». La réaction du marché a pourtant été toute autre puisqu’au Nasdaq, le titre Zebra a chuté de 10% après l’annonce du rachat. Selon le Wall Street Journal, cela s’expliquerait non seulement par le fait que les investisseurs ne seraient pas favorables à cette focalisation sur les « terminaux », un marché à faible marge confronté à l’arrivée des smart- phones, mais également par les répercussions financières de cet accord. En effet, Zebra, qui réalise 1 Md$ de CA annuel, sans endettement jusqu’à présent, va devoir emprunter 3,25 Md$, ses fonds propres ne représentant qu’environ 200 M$. D’autre part, les ventes de Motorola Solutions au 1er


trimestre 2014


sont en baisse de 9% par rapport à 2013, tant au niveau Enterprise Business que Government Business. Rappelons que Motorola avait déjà vendu sa divi- sion téléphones portables à Lenovo en début d’année. Lorsque l’opération sera entérinée, pas moins de 4.500 collaborateurs devraient venir grossir les rangs de Zebra Technologies, de même que 4.500 brevets. ■ PM


8 N°84 ■ SUPPLY CHAIN MAGAZINE - MAI 2014


Si vous avez des informations toutes fraîches contactez :


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