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DOSSIER W M S Graphe 1 – Principaux apports attendus d’un WMS


Performance des processus Fiabilité des données Gains de productivité


des ressources humaines


Réduction des délais Optimisation


Optimisation des ressources matérielles


0 13% 20406080


réponse souligne également la néces- sité pour le WMS de s’inscrire dans une architec- ture informatique existante et de bien savoir communiquer avec les autres briques du système d’information pour être efficace. A noter, le faible coût de la solution n’est pas une priorité (moins de 7 % de réponses).


souci de pouvoir faire progresser l’outil, sans doute à la fois au fur et à mesure de sa prise en main, mais aussi probablement pour faire face à des changements d’activités (natures de produits, volumes des flux… à la hausse mais aussi à la baisse). La 4e


La principale crainte est la lourdeur d’utilisation


Ce que redoutent le plus les professionnels de la logistique c’est la lourdeur d’utilisation de la solu- tion WMS (71 %) (voir graphe 3), et ce d’ailleurs


Graphe 2 – Principales qualités d’un WMS


Adéquation fonctionnelle Evolutivité dans le temps Facilité d'utilisation


Facilité d'interfaçage avec les autres SI (ERP, TMS…)


Facilité de paramétrage


Facilité d'interfaçage avec des automates (carrousels, TK, systèmes de tri…)


Faible coût 16% 7% 0 10 2030405060 70 80 Graphe 3 – Principales craintes vis-à-vis d’un WMS


Inadéquation fonctionnelle Lourdeur d'utilisation


Perturbation de l'activité Rejet des utilisateurs Manque de fiabilité


Perte de productivité 0 43%


33% 33%


32% 10 2030405060 70 80 50 N°84 ■ SUPPLY CHAIN MAGAZINE - MAI 2014 71% 65% 41% 100 31% 38% 84% 69% 62%


quelle que soit la taille de l’entre- pôt considéré. Cette crainte est même plus forte pour les plus petits entrepôts (80 % pour les < 6.000 m2


plus gros (83 % pour les > 100.000 m2


) mais aussi pour les ). La seconde crainte


citée est l’inadéquation fonction- nelle du WMS (65 %) : cette réponse semble surprenante de prime abord, car on pourrait considérer que c’est un critère de


choix de la solution et que pour le coup, cet aspect devrait être maîtrisé par les sélectionneurs ! Faut- il voir là des limites au processus de choix : pas de temps passé à comparer finement les solutions ? Des listes de questions où les éditeurs répondent tous « oui » sans que l’on sache exactement ce que cela signifie concrètement, sans contrôle par des démonstrations ou des visites clients ? A moins que la décision ne soit imposée aux répondants : le même WMS qu’avant, celui que connaît déjà le décideur, celui qui est inclus dans l’ERP du groupe voire celui qui a l’équipe avant-vente la plus sym- pathique ou qui est tout simplement le moins cher ! Autre hypothèse : l’évolution de l’activité induirait une éventuelle inadéquation sur la durée… Sans doute est-ce un mix de ces raisons. Le manque de fiabilité cité par 43 % des répondants montre là encore une certaine méfiance vis-à-vis des solu- tions WMS. Les trois autres craintes suggérées (perturbation de l’activité, rejet des utilisateurs et perte de productivité) ne préoc- cupent qu’une trentaine de pour- cents de répondants.


68%


58% 59%


55%


réponse est étonnement la ges- tion des retours (22 % l’estiment indispensable, 44 % très utile, soit un total de 66 %). Avec la montée en puissance des ventes sur le Net, le souci de garantir un ser-


Les tableaux de bord per- sonnalisables jugés la fonc- tion la plus indispensable Quelles sont les fonctions avan- cées jugées comme les plus utiles (d’indispensable à inutile) par les utilisateurs ? La fonction qui rem- porte de loin tous les suffrages est celle des tableaux de bord per- sonnalisables (31 % la jugent indispensable, 47 % très utile, soit un total de 78 %) (voir graphe 4). Ce qui atteste le besoin de visibi- lité et de chiffres objectifs pour piloter au mieux son activité. La 2e


©C.POLGE


©C.POLGE


©C.POLGE


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