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Les participants


Nicolas Dubel, Directeur des Ventes France, Europe du Sud-Est et Afrique du Nord de TSC Auto ID Technology Constructeur taïwanais d’imprimantes thermiques industrielles et codes- barres depuis 25 ans, TSC Auto ID Technology occupe le 5e


rang mondial


sur ce marché, avec plus de 3 M d’unités vendues. La société, qui fait partie d’un groupe de fabrication de semi-conducteurs et de composants, se positionne sur les produits plutôt haut de gamme.


coréennes (notamment M3 Mobile) dans le domaine de la mobilité et de la traçabilité. « Nous ne faisons pas que de la distribution. Nous travaillons directement avec la R&D et des usines du constructeur sur les évolutions de produits, que ce soit sur du moyen/ long terme ou sur des demandes ponc- tuelles pour un besoin client. C’est une chose relativement nouvelle par rap- port à ce qu’on a l’habitude de voir chez les fabricants asiatiques », sou- ligne Ibrahim Hoxha. Pour Emmanuel Moulin (Casio), la faculté d’adaptation est primordiale, sur un marché des terminaux B2B qui voit arriver des constructeurs de smartphones comme Samsung, Apple ou Huawei. « Ce que l’on met en avant, c’est la qualité de nos produits, comme en témoignent certains de nos parcs installés depuis 12 ou 15 ans et notre flexibilité pour


Ibrahim Hoxha, Directeur Technique d’Athesi Avec un effectif d’une dizaine de per- sonnes, Athesi est spécialisée dans la distribution de produits dans le domaine de la mobilité (PDA profes- sionnels, tablettes, terminaux mobiles, scanners, RFID). En tant que repré- sentant en France de marques asiatiques telles que M3Mobile, Gen2wave, Sewoo, Cino, Ubiqconn ou encore Isis, Athesi propose égale- ment de personnaliser des produits directement en usine et de maintenir les terminaux.


répondre aux demandes des clients finaux, tout en nous appuyant sur les compétences et les process d’un grand groupe ». Avec un brin d’agacement, Thierry Vasseur tente de sortir d’un débat qu’il juge un peu artificiel et caduc entre des spécialistes qui auraient des produits de qualité et des généralistes qui ne penseraient qu’à faire du chiffre. « Il n’y a pas de solu- tion globale aujourd’hui, que ce soit chez Honeywell ou Zebra. Il n’y a que des briques, assemblées par nos par- tenaires intégrateurs. Mais ce qui est important, c’est la facilité d’intégra- tion des produits ». Il rappelle que la capacité d’innover, de réaliser des avancées technologiques, de déposer des brevets, est tout de même liée à la puissance d’investissement sur le long terme. « Vous imaginez que le budget R&D de Zebra représente l’équivalent


Rémy Meulins, DG Opérationnel de Voiteq-Teknix


Filiale du groupe Centriq, Voiteq-Tek- nix est née de la fusion en 2014 des activités de Voiteq, acteur britannique des solutions vocales pour les entre- pôts, et de celles de son homologue français Teknix. Le groupe compte une centaine de collaborateurs, avec des sites en Angleterre, en France (15 per- sonnes), aux Etats-Unis et en Alle- magne. Voiteq-Teknix est partenaire de Vocollect (groupe Honeywell) mais pro- pose également ses propres solutions.


du CA de certains spécialistes. Zebra parle de l’internet des objets depuis 10 ans, mais est-ce qu’un construc- teur spécialiste va investir sur ces technos-là sans gagner d’argent ? Les coûts de R&D sont tellement impor- tants que la consolidation sert tout le monde au final ».


Vous avez dit dynamique ? « Ce n’est pas vraiment une question de qualité, insiste Ibrahim Hoxha, car tous ici nous savons faire des produits de qualité, il n’y a plus de débat là- dessus. Mais pour avoir connu les 2 mondes, puisque j’ai travaillé pen- dant 15 ans dans la R&D chez Symbol, je peux vous dire que quand la société comptait 500 personnes, nous savions faire du spécifique pour les clients quand ils nous le demandaient, les volumes le permettaient, et puis j’ai vu


SEPTEMBRE 2015 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE ■ N°97 93


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