POUR VOS APPELS D’OFFRE Solution Vocollect chez Glanbia
sation » des terminaux car le WMS ne dispose pas de paramétrage pour modifier le dialogue vocal. En consé- quence, le client ne peut pas avoir d’action sur l’application qui vocalise le terminal. Cela crée une rupture, ce qui peut être dérangeant si les proces- sus évoluent », commente Lionel Cour- bebaisse. Par ailleurs, Top System dispose d’un connecteur direct SAP (Top Connector) reliant l’ERP et les terminaux.
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vocale multimodale de Zetes). Cette particularité offre la possibilité d’utili- ser des terminaux Motorola, Intermec ou encore Honeywell. Zetes revendique l’approche fonctionnelle de sa solution. « Notre métier consiste à apporter une cohérence et à homogénéiser les solu- tions. Nous intégrons la solution Vocol- lect tout en créant une comptabilité avec d’autres terminaux afin de ne pas « enfermer » le client. Notre objectif est d’utiliser toutes les caractéristiques du terminal et ses richesses fonctionnelles », insiste Djaffar Ferrat. 3iV Crystal pro- pose ainsi une grande liberté de choix en termes d’applications (picking, cross-docking, rangement, inventaire, etc.). Le middleware de Teknix, autre partenaire majeur de Vocollect en France, se nomme Teknix Voice Mana- ger. Mais Teknix propose également depuis 2010 la solution Teknix Data Connect en mode Telnet qui « vocalise »
les écrans des terminaux. « Les temps de déploiement sont extrêmement courts et les coûts sont moindres car nous n’avons pas besoin de faire appel à l’éditeur du WMS/ERP. Nous sommes juste plus limités qu’avec un middle- ware si l’on souhaite enrichir la tâche vocale », évoque Michel Beurdouche. Décidemment, l’idée de « vocaliser » les terminaux RF fait son chemin… Aldata utilise son propre middleware Vdw pour connecter les WMS clients avec le moteur de reconnaissance vocal Nuance. « 30 % de nos références vocales sont des clients qui ne dispo- sent pas du WMS d’Aldata. Notre sys- tème s’interface avec tous les WMS du marché », déclare Jean-François Le Garrec. Autre acteur incontournable du marché : IER, qui s’appuie sur Top Sys- tem. « Nous utilisons systématiquement un connecteur. Nous ne sommes pas convaincus par le principe de « vocali-
L’intérêt de la multi-modalité La multi-modalité est un sujet de controverse entre les spécialistes. D’un côté les « ultra-convaincus » et de l’au- tre les réservés… « En alternative à cette multi-modalité, nous proposons le full voice ou l’association Talkman/ring scanner qui maintient la fluidité des gestes et la productivité attendue », indique Michel Beurdouche. Vocollect et IER encouragent l’utilisation de matériel dédié à la reconnaissance vocale pour maximiser les gains de productivité et de qualité. Un avis que ne partage pas Nomadvance dont la multi-modalité est la marque de fabrique. « C’est le processus qui défi- nit si la multi-modalité est utile ou non. Par exemple, dans le secteur phar- maceutique, il faut pouvoir scanner le Datamatrix au moment de la prépara- tion. Notre application est construite de sorte que l’utilisateur puisse décider de la manière de capter et de restituer l’in- formation (clavier, pistolet, lecteur RFID, micro, etc.) », explique Jean- François Le Garrec. Autre sujet dans l’air du temps : l’utilisation du vocal à d’autres fins que la préparation de commandes… Le vocal semble aussi être pertinent pour des opérations d’in-
Nicolas Delalande, Business Development Manager chez
Nomadvance
Jean-François Le Garrec, Directeur de la Business Unit Logistique chez Aldata
Lionel
Courbebaisse, Responsable des solutions entrepôts chez IER
104 N°69 ■ SUPPLY CHAIN MAGAZINE - NOVEMBRE 2012
©NOMADVANCE
©ALDATA
©VOCOLLECT ©IER
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