technologiques, etc.) sont constituées de telle manière à autoriser des analyses/arbitrages sui- vant des axes forts, déterminés suivant l’activité de l’entreprise (segmentation marché, client ou autre saisonnalité, par exemple).
Règle n°5 : Simuler pour mieux anticiper Pouvoir aisément simuler différents scénarios est une marque de maturité d’un processus S&OP. La chaîne logistique sait ainsi se mon- trer flexible et adaptable. Il est à noter que les
Règle n°7 :
Constituer une communauté S&OP L’amélioration continue du processus S&OP est une nécessité pour qui vise l’excellence opéra- tionnelle. La constitution d’une communauté S&OP, centrée sur le partage des bonnes pra- tiques ne peut qu’y contribuer. Les acteurs S&OP font ainsi évoluer par eux-mêmes le processus, avec l’émulation comme moteur. Cela va égale- ment dans le sens du développement des réseaux sociaux d’entreprise.
Règle n°8 : Outiller son processus S&OP Un projet S&OP consiste avant tout en la refonte de processus métier logistique. Néanmoins, la solution informatique qui supportera le pro- cessus devra être sélectionnée avec soin. Bien choisie, elle permettra de démultiplier l’efficacité du proces- sus. Mal choisie, elle concentrera l’attention et constituera un facteur d’échec du projet. La solution S&OP adéquate doit présenter les
caractéristiques suivantes : ■ Ergonomie d’affichage et repré- sentation synthétique des données
(capacités graphiques notamment), ■ Capacités de simulation, ■ Facilité à agréger/désagréger les
données suivant différents axes, ■ Intégration avec les ERP/APS
et autres outils SCM. Certains tableurs, exploités au mieux de leur capacité, pourront
simulations financières (simulation d’un scé- nario logistique et traduction en termes de coûts) deviennent des « must » du S&OP moderne. Cela pose cependant un défi aux organisations, en termes d’intégration inter- entités et de réponse applicative.
Règle n°6 : L’intégration
Une intégration forte de la logistique avec les autres entités de l’entreprise est synonyme d’ac- croissement de la performance globale. Au sein du S&OP, l’intégration logistique-finance permet de réaliser des simulations complètes. Au-delà de cette intégration, d’autres départements sont en mesure d’apporter une contribution de valeur au processus, tels que la R&D, les achats ou le marketing. Cette approche intégrée peut être élargie aux partenaires extérieurs à l’entreprise (exemple : fournisseurs clés), dans le cadre d’un S&OP étendu.
faire office de premier outil S&OP.
Solutions S&OP : tablettes et « Smartphones » arrivent Après avoir conquis le consommateur, les termi- naux mobiles déferlent sur l’entreprise. Les tablettes font notamment des percées significa- tives auprès des forces de vente et des équipes CRM. Nouvelles expériences utilisateur, mobilité à toute épreuve, créativité et dynamisme des développeurs d’applications sont autant d’atouts qui plaident pour leur développement rapide. Ayant compris cela, les éditeurs de logiciels se positionnent pour accompagner ce mouvement et constituer les standards de demain. Et nos solutions S&OP dans tout cela ?
Les outils informatiques S&OP vont certaine- ment suivre cette tendance. Les applications mobiles vont permettre de rapprocher les équipes informatiques et les équipes métiers, sur le sujet sensible de l’ergonomie, de l’approche naturelle
JUIN 2012 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE ■ N°65 85
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