nement de six à huit semaines, je décris la théorie et les principes scientifiques sur lesquels ils se basent, avec une description détaillée de tous les aspects techniques, y compris le plan repas et la manière d’optimiser les résultats,” explique-t-il. (Pour un complément d’information sur ce service, rendez-vous sur mi40benpakulski.com.) Il est pleinement conscient de la
tension pendant toute la séance, mais c’est à la fin du matraquage qu’elle se transforme en objectif principal. Déterminé, il fait trois séries de 20 reps de squat horizontal, chaque contraction positive et négative étant réalisée lentement, avec la même intensité que pendant le reste de la séance de 60 minutes. Le combat est terminé, et il est temps de récupérer et de recharger les batteries.
“CELA NE VEUT RIEN DIRE TANT QU’ON N’A PAS ATTEINT SES OBJECTIFS DE PHYSIQUE ET DE CLASSEMENT.”
JETER LES FONDATIONS Pakulski descend un shake au chocolat et au beurre de cacahuètes rapidement préparé dans une bouteille en plastique et part au vestiaire. De là, il rentre chez lui pour prendre sa troisième collation de la journée avant de passer l’après- midi avec Amanda, sa petite amie. Comme il attend son premier enfant (un fils) en janvier, son succès dans le bodybuilding est plus important que jamais, mais c’est un défi qu’il relève avec plaisir. “Je savais que j’avais la structure, je
savais que j’avais la motivation, je savais que j’allais passer pro,” dit Pakulski de la période qui a précédé son succès sur scène. “Cependant, je n’avais rien prévu pour la suite. Je n’avais pas réfléchi à une participation à Olympia, ou même aux concours une fois décroché la carte pro. Je me suis dit que j’allais devenir pro, et que je verrais bien après.” À présent, il se prépare pour Olympia,
et c’est là que nous allons voir si le Classic a réellement représenté un tournant décisif, l’émergence d’une nouvelle star du bodybuilding, fièrement campée sur les plus belles jambes de son sport. FLEX