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DOSSIER W M S


plus de 2 ans », explique Rémy Malchirand. L’en- jeu essentiel est l’order streaming, ou fl uidifi ca- tion du traitement des commandes en gérant plu- sieurs types de vagues de préparation – voire en s’en affranchissant – est de sortir de « l’effet tun- nel » via aussi plusieurs modes de prélèvement. Le WMS doit pouvoir lancer des vagues de façon plus fi ne (préparation par zone, voire allée), avant d’éclater les quantités en commandes, de préparer en rafales...


Volonté d’autonomie Par ailleurs, les entreprises veulent pouvoir instal- ler mais aussi faire évoluer rapidement et aisément leur outil. Hugues Doligez avance : « Dans le choix de l’éditeur, la capacité de son équipe à répondre rapidement pour intégrer une spécifi cité, une évo- lution de l’activité pourra être un critère important. Cela va de pair avec la possibilité de paramétrer et personnaliser soi-même pour être plus autonome ». « Les entreprises veulent un outil profond simple à utiliser, pour que le métier puisse prendre la main dessus sans faire appel à des experts IT. Les uti- lisateurs d’anciens WMS souffrent d’une certaine rigidité », ajoute Julien Masion, Consultant Supply Chain chez SAP, qui met en avant la solution de déploiement rapide de solutions de l’éditeur alle- mand, utilisable dans divers entrepôts et points de stockage, grâce à la pré-confi guration des proces- sus. Selon Patrick Rehel, Directeur Commercial de Negsys qui propose depuis 2007 un WMS 100 % cloud, représentant 95 % de sa base installée (avec une migration des derniers pour octobre 2017), les attentes du client sont d’abord les fonctionnali- tés puis le coût de l’interfaçage et l’ergonomie de l’outil. Thomas Tschinschang, Directeur Commer- cial de KLS Logistic Systems met en avant quant à lui une attitude quasi-paradoxale : « Nombreux sont ceux qui souhaitent un outil standard facile à mettre en place, mais qui peut gérer leurs spéci- fi cités. Ils veulent accéder à l’application quel que soit le support (PC, terminaux portables, mobile, web), qu’il soit multi-site et multipropriétaire (stocks détenus par différentes entités). En outre, nos clients sont rassurés par nos chefs de pro- jet sectorisés par métier. En tant qu’intégrateur, nous formons les super-utilisateurs et les équipes SI pour dupliquer des sites, les aidons à changer de processus opératoires ».


Essor du Labor Management


Les WMS, qui offrent tous un même socle fonc- tionnel, voient leurs fonctionnalités s’élargir. Certains proposent des fonctionnalités que l’on retrouve dans des TMS, comme Spidy de Negsys qui intègre une fonction d’impression des éti- quettes transport. Le module de Labor Manage- ment pour gérer les ressources humaines de l’en-


60 N°116  SUPPLY CHAIN MAGAZINE - JUILLET-AOÛT 2017


Le WMS au sein d’un écosystème interopérable


La transmission de données via l’EDI laisse pro- gressivement la place aux réseaux sécurisés et aux portails collaboratifs. « La connectivité est, avec la visibilité, le grand enjeu des systèmes d’infor- mations logistiques », souligne Didier Santurette,


trepôt en fi xe ou en intérim a le vent en poupe. JDA Software indique aller jusqu’à la planifi ca- tion des ressources en fonction des portefeuilles de commandes. « Notre WMS utilise le moteur de prévisions pour anticiper les besoins en termes de ressources, lisser la charge et réaliser des arbi- trages, met en avant Giovanni Guzzardi, Chef de produit WMS d’Acteos. De plus, il fournit des informations de BI (alerte, avance, retard...). Il pilote automatiquement des actions récurrentes. Les managers peuvent effectuer une gestion par exception ».


Mobilité et gamifi cation


Les entreprises sont friandes d’applications mobiles fonctionnant sur différents appareils, avec des interfaces utilisateurs intuitives, à des- tination de managers qui peuvent accéder aux tableaux de bord, tout en restant au contact de leurs équipes. Julien Masion remarque que « la gamifi cation touche aussi les opérateurs en entre- pôt, qui préfèrent utiliser smartphones et tablettes plutôt que des terminaux traditionnels ». Les édi- teurs de WMS prennent donc aussi en compte les attentes des différents acteurs de l’entrepôt. Ceux qui aimeraient avoir le même confort d’utilisa- tion qu’avec leur smartphone, qui a cependant quelques générations d’avance sur les outils pro- fessionnels. En France, le terminal radiofréquence s’avère plus diffi cilement détrônable que dans d’autres pays, mais les éditeurs affi rment faire des efforts sur l’ergonomie.


©CHOMBOSAN-FOTOLIA


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