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DOSSIER W M S


Patrick Rehel, Directeur Commercial de Negsys.


Giovanni Guzzardi, Chef de Produit WMS


chez Acteos


magasins devient crucial afi n de préparer les com- mandes au meilleur endroit de la chaîne, compte tenu des contraintes (géographiques, délais, coûts, volumétrie...). La disponibilité produit est un enjeu commercial prioritaire. Pour Hugues Doli- gez, Senior Manager, Diagma, « les clients B2C demandent un pilotage fi n et un système d’order management en ordre de marche capable de diri- ger les commandes quel que soit le canal en temps réel au mieux vers le site logistique et le proces- sus ad hoc. La réactivité du WMS est essentielle ». Un WMS ancien, avec son lot de développements spécifi ques, long et coûteux à mettre à jour, aura du mal à s’adapter rapidement aux changements d’organisation dans le pilotage des stocks. La gestion de la distribution multi-canal requiert la mise en œuvre d’un orchestrateur de commande, offrant une visibilité totale et temps réel de tous les stocks (entrepôts multi-niveaux, magasins, stocks en transit, achats en cours, ..), afi n d’être en mesure de prendre des engagements de livraison, de suivre et réaliser ces engagements. La multipli- cation des points de stockage génère de multiples possibilités de livraison que seul l’Order Manage- ment System (OMS) couplé aux WMS et aux TMS (Transportation Management Systems) permet de garantir. « Les entreprises souhaitent que leurs clients puissent suivre les étapes de traitement de leur commande, les différentes phases de prépara- tion et de livraison. Le WMS doit collaborer pour communiquer les informations ad hoc », complète Isabelle Badoc, Directrice Marketing, Generix


Montée en puissance de l’OMS Rémy


Malchirand, Directeur France de Manhattan Associates


Plusieurs éditeurs mettent en avant la montée en puissance de l’OMS pour une allocation mul- ti-site des commandes. Il donne une vision trans- verse des stocks et permet de les réserver et de les affecter au mieux. « Les entreprises B2B vendent de plus en plus de solutions complexes, clés en mains, qui sont une agrégation de produits ini- tialement vendus séparément qu’il faut à présent livrer depuis plusieurs sites et souvent gérés dans différents ERP, explique Laurent Denuit, Respon- sable Développement des Ventes SCM d’Oracle. L’OMS permet d’éclater des commandes complexes


au niveau de la ligne et de synchroniser les ser- vices associés aux mouvements de produits. » Certains éditeurs comme Manhattan Associates ou JDA, via un partenariat avec IBM, proposent un OMS. La fonction est souvent gérée au sein de l’ERP, comme dans S/4Hana de SAP. L’éditeur américain Infor cherche à acquérir un OMS. Rémy Malchirand, Directeur France de Manhattan Asso- ciates, prend l’exemple de la marque au crocodile : « Chez Lacoste,


qui vend principalement aux


grands magasins, devant son réseau de bou- tiques, lui-même devant les ventes e-commerce B2C, l’OMS est confi guré pour pouvoir « voler » au besoin un produit dans le stock B2B, afi n de servir effi cacement le client, tout en minimisant le niveau de stocks ». Dans ce cadre, « le WMS doit être en mesure de prendre en compte les stocks d’entrepôts physiques ou virtuels, les centres de distribution dédiés au Net ou au drive (« dark stores »), des stocks dépor- tés », indique Nathalie Lopez, Consultante EMEA SCE Solution chez Infor. De plus, un même stock physique peut être divisé en stocks logiques, selon leur destination (boutique, grossiste, e-commer- çant). Si le magasin est, dans un cadre omni-ca- nal, un lieu de stockage et de picking, il utilise


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N°116  SUPPLY CHAIN MAGAZINE - JUILLET-AOÛT 2017


©MANHATTAN ASSOCIATES


©ACTEOS


©NEGSYS


©CYBRAIN-FOTOLIA


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