search.noResults

search.searching

note.createNoteMessage

search.noResults

search.searching

orderForm.title

orderForm.productCode
orderForm.description
orderForm.quantity
orderForm.itemPrice
orderForm.price
orderForm.totalPrice
orderForm.deliveryDetails.billingAddress
orderForm.deliveryDetails.deliveryAddress
orderForm.noItems
Gémo déploie sa tour de contrôle


Gémo distribue 80 M d’articles de mode homme, femme, enfant et bébé par an. Aux 2 collections annuelles viennent s’ajouter chaque mois de nouveaux produits au catalogue. La fi liale du groupe Eram a un portefeuille en cours de rationalisation de 600 fournis- seurs, nombre susceptible d’être encore diminué d’une centaine. Ils sont essentiellement en Chine, en Inde et au Bangladesh où il dispose de bureaux de sourcing, qui contrôlent la qualité des usines. Les cahiers des charges comportent des livrets Supply Chain et RSE. L’enseigne a transformé sa Supply Chain à marche forcée depuis 2014, créant notamment un service de planifi cation. Elle a développé en interne sa tour de contrôle qu’elle va déploiyer d’ici le 1er


mai auprès de 150 utilisateurs,


des designers aux chefs de produits. Il s’agit de gagner en productivité administrative à l’import, et en visibilité pour planifi er et tendre les fl ux au maximum sur toute la chaîne. Le but est aussi de réduire le délai de mise sur le marché des produits. Si l’étiquetage des produits est déjà réalisé dans les usines, Gemo présente fi n 2017 un projet d’étiquetage RFID chez les fabricants. « Il est susceptible d’être déployé sur l’ensemble des produits dès 2018-2019 », annonce François Le Joncour, Directeur Supply Chain de Gemo. En 2012, Gémo a créé une cellule conformité. En 2014, il a audité ses usines au Bangladesh, qui ont toutes


Le devoir de vigilance


Le 23 mars 2017, le Conseil constitutionnel a conservé l’essen- tiel de la loi relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre. Il a toutefois invalidé, car trop fl oues, les dispositions instituant des amendes. Rappelons que cette loi instaure plusieurs obligations pour les sociétés françaises employant plus de 5.000 salariés en France ou 10.000 salariés dans le monde, en incluant leurs fi liales : élaborer, rendre public et mettre en œuvre un plan de vigilance destiné à identifi er les risques et prévenir les atteintes aux droits humains et aux


Le Made In France, c’est possible !


Si la plupart des vêtements de gamme moyenne ou bas de gamme sont aujourd’hui fabriqués à l’étranger pour des raisons de coûts, ce n’est pas une fatalité. « Il existe plus de 570 façonniers, toutes catégories confondues, en France : façonniers habillement, bureaux d’études, presta- taires de services (brodeurs, ennoblisseurs qui s’occupent de la teinture et de l’apprêtage du textile, façonniers en tri- cotage ou en accessoires...), indique Véronique Bekhdadi, Responsable projet à la Plate-forme des Façonniers. Par leurs savoir-faire pointus, ils sont très prisés par le marché de l’habillement, en particulier de haut de gamme et de luxe ». Côté bottier, Aigle continue à fabriquer ses bottes en caoutchouc en France (voir page 48).  CC


AVRIL 2017 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE  N°113 47


libertés fondamentales qui pourraient résulter des activités de la société mère, des sociétés qu’elle contrôle et de leurs fournisseurs et sous-traitants, en France comme à l’étranger. Une mise en demeure de respecter ces obligations peut d’abord être adressée à toute société qui y est soumise. Si elle s’abstient de prendre les mesures nécessaires, le juge, saisi par l’auteur de la mise en demeure, peut ensuite prononcer une injonction. La responsabi- lité de l’entreprise peut donc être engagée en cas de manque- ment à ses obligations.  CC


répondu au standard international. De 2015 à 2020, ce plan de vigilance est progressivement étendu dans tous les pays de production.  CC


©KZENON-FOTOLIA


©HAMAOMIN-FOTOLIA


Page 1  |  Page 2  |  Page 3  |  Page 4  |  Page 5  |  Page 6  |  Page 7  |  Page 8  |  Page 9  |  Page 10  |  Page 11  |  Page 12  |  Page 13  |  Page 14  |  Page 15  |  Page 16  |  Page 17  |  Page 18  |  Page 19  |  Page 20  |  Page 21  |  Page 22  |  Page 23  |  Page 24  |  Page 25  |  Page 26  |  Page 27  |  Page 28  |  Page 29  |  Page 30  |  Page 31  |  Page 32  |  Page 33  |  Page 34  |  Page 35  |  Page 36  |  Page 37  |  Page 38  |  Page 39  |  Page 40  |  Page 41  |  Page 42  |  Page 43  |  Page 44  |  Page 45  |  Page 46  |  Page 47  |  Page 48  |  Page 49  |  Page 50  |  Page 51  |  Page 52  |  Page 53  |  Page 54  |  Page 55  |  Page 56  |  Page 57  |  Page 58  |  Page 59  |  Page 60  |  Page 61  |  Page 62  |  Page 63  |  Page 64  |  Page 65  |  Page 66  |  Page 67  |  Page 68  |  Page 69  |  Page 70  |  Page 71  |  Page 72  |  Page 73  |  Page 74  |  Page 75  |  Page 76  |  Page 77  |  Page 78  |  Page 79  |  Page 80  |  Page 81  |  Page 82  |  Page 83  |  Page 84  |  Page 85  |  Page 86  |  Page 87  |  Page 88