DES DÉCIDEURS DE LA SUPPLY CHAIN N°88 - OCTOBRE 2014
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et Directeur des rédactions Jean-Philippe Guillaume
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Ont participé à la rédaction : Jean-Marc Abelous, Christine Calais, Fabrice Dalla Muta, Thierry Desnos, François Fulconis, Michel Gavaud, Stéphane Ghioldi, Michael Lecomte, Thomas Moreau, Mikaël Pichavant, Xavier Rotger, Bruno Siguiche Couverture : Fives Cinetic
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Supply Chain Magazine est édité par SUPPLY CHAIN MAGAZINE S.A.S. au capital de 50.000 € Directeur de publication : Jean-Philippe Guillaume
Siège social : 19, rue Saint-Georges 94700 Maisons-Alfort Fax 01 43 76 64 53 Fax 01 43 53 23 96 (commercial) RCS 485 341 416 - ISSN : 1950-1560
Imprimé en UE par
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◆ Tirage moyen par numéro :13.280
◆ Mise en distribution : 13.130 exemplaires
OCTOBRE 2014 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE ■ N°88 5
LE MAGAZINE PROFESSIONNEL
Édito
L’ère de l’automatisation
L
Le salon de l’Emballage et de la Manutention, qui ouvre ses portes le 17 novembre prochain au parc des expositions de Paris Porte de Versailles, fera encore la part belle cette année à la méca- nisation et à l’automatisation des opérations en entrepôts. Grâce aux systèmes de stockage et de préparation à navettes, aux trans- stockeurs, aux AGV, aux convoyeurs de plus en plus sophistiqués pour devenir simples à assembler… de pénibles et fastidieuses manipulations de charges et des kilomètres de déplacements se verront supprimés ou allégés. De même, des robots constituent les palettes et les emballent, des formeuses préparent les colis prêts à être remplis puis étiquetés avant d’être expédiés, le tout à de hautes cadences et en évitant les Troubles Musculo Squelettiques (TMS). Un plus, aussi bien pour les opérateurs que pour les socié- tés qui les emploient, à l’aube de l’entrée en vigueur du compte pénibilité.
Les machines nous rendent donc de fiers services au niveau de la manutention, mais pas uniquement. Avec l’avènement de l’industrie 4.0 et des objets connectés, la fabrication va faire elle aussi un nouveau bond dans l’automatisation puisque les machines vont pouvoir dialoguer entre elles pour s’autoréguler, prévenir les techniciens de maintenance de la nécessité de rem- placer telle ou telle pièce, si elles ne sont pas en mesure de se réparer toutes seules. Et que dire des systèmes d’information qui automatisent déjà pas mal de tâches administratives harassantes, et qui devenant auto-apprenants, seraient même capables de deviner nos besoins, à travers nos comportements d’achats, avant même que nous ne les ayons exprimés (Cf Amazon) ? Pour le moment, nous pouvons compter sur les machines et les systèmes d’information pour nous aider à produire mieux en termes de qualité, dans des délais moindres et à des coûts com- patibles avec le niveau de vie des marchés auxquels s’adressent les produits et services. Même s’ils ont déjà commencé à suppri- mer certains emplois, ils contribuent à en créer d’autres. Mais au fil du temps, comme le souligne Mc Kinsey dans son étude inti- tulée « Management Intuition for the next 50 years », ce rempla- cement se fera plus massif (MGI Research estime à 140 millions le nombre d’employés qualifiés qui pourraient être supplantés par des machines intelligentes). Voire même à plus haut niveau de compétences car les profils requis doivent cumuler des savoir- faire techniques et métier avec l’aptitude au dialogue que requiert la collaboration et à l’adaptation qu’exige un monde en perpétuel changement. A coup sûr un sacré challenge pour les pays déve- loppés en termes de formation et de recrutement… ■CATHYPOLGE
©
JP.GUILLAUME
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