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10/16 pour un D+ Trump, on the road again, again Voici de bonnes raisons pour que Donald Trump puisse à nouveau sillonner les Etats Unis et, cette fois-ci, pour prendre conscience de la situation catastrophique des


infrastructures américaines. En effet, selon le rapport qua- driennal de l’American Society of Civil Engineers, sur les 16 catégories d’infrastructure cataloguées aux USA, 10 se sont vu attribuer un « D+ » ou pire. C’est le rail qui s’en tire le mieux avec un « B » dû en particulier au fait que les voies ferrées sont fi nancées par les investissements privés des transporteurs. Les ports tirent leur épingle du jeu avec un « C+ » alors que les voies d’eau intérieures sombrent avec un « D- » la pire note jamais attribuée. Selon l’ASCE, la situation a encore empiré depuis 1988. Cette dégradation de l’infrastruc- ture est attribuée à une maintenance de plus en plus négligée et à un manque d’investissement dans toutes les catégories. Notons en passant qu’en France le rail, géré par une entre- prise publique, entrerait probablement dans la même catégo- rie des mauvais élèves.


Nous pouvons nous demander si, une fois encore, Donald Tump ne s’est pas trompé de cible en choisissant d’investir dans le «mur de la honte» plutôt qu’en privilégiant la circu- lation des biens et des personnes.


Supply Chain 4.0 et RFID


dope ses ventes en Russie Avec seulement 1.200 magasins répartis sur tout le territoire russe – 17 M de km² soit 30 fois la France – la solution choisie par Adidas pour vendre sur internet rencontrait des diffi cultés insurmontables. Livrer à partir de quelques entrepôts ou centres de distri- bution conduisait à des délais de livraison qui se mesuraient en semaines. Le pourcen- tage de retours qui ne dépassait pas 50 %


Quand Adidas


lorsque les commandes étaient livrées sous 24 h, frôlait alors les 70 %. D’où l’idée du « click and collect ». Pour le 1er


essai dans la région de Moscou, Adidas attendait


10 à 20 commandes par semaine, mais dès le début ce chiffre atteignit 1.000 commandes qu’Adidas fut incapable d’honorer. D’où retour à la case départ et lancement d’un projet beaucoup plus ambi- tieux : multi-canal, multi-site. Avec cette solution, le client peut passer commande sur internet ou dans n’importe quel magasin ou entrepôt, que le stock soit disponible ou non. Il peut choisir d’être livré à domicile, en entrepôt ou dans un point de collecte. Le résultat fut spectaculaire avec un doublement des commandes en 24 h. Et alors qu’Adidas s’attendait à voir augmenter les coûts de transport, ces derniers diminuèrent en raison de la baisse signifi cative du coût des retours. La mise en place de cette nouvelle solution ne fut rendue possible que grâce à la généralisation de la RFID et des étiquettes électroniques sur tous les produits et dans tous les entrepôts et magasins. Cette nouvelle approche a été baptisée « Supply Chain 4.0 » par Ann Wyss de l’IMD de Lausanne en référence à Industry 4.0 qui a depuis longtemps gagné ses lettres de noblesse. Un dopage (des ventes) en Russie dont Adidas peut se féliciter !


AVRIL 2017 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE  N°113 77


4.400+ Pour UPS


ça gaze naturellement Dans le monde entier, ce ne sont pas moins de 4.400 camions fonctionnant au gaz naturel comprimé (GNC) ou liquide (GNL) qu’UPS annonce avoir conver- tis fi n 2016 et ceci, aussi bien aux Etats Unis qu’en Allemagne, aux Pays-Bas et en Thaïlande.


Même si ce nombre de camions ou trac- teurs roulant au gaz naturel ne représente qu’un faible pourcentage de sa fl otte, UPS continue son investissement qui avoisine 100 M$ chaque année dans des véhicules et des stations de fourniture et de distribu- tion de gaz naturel. En 2016, face à l’alternative diesel ou essence, en consommant plus de 230.000 m3


de gaz naturel, UPS a


réduit de 100.000 t ses émissions de CO2 et… fait des économies. Un pied de nez


au Président énergivore.


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