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SMTRT adopte IzyPro, le WMS d’Acsep


Le prestataire de transport, de messagerie et de logis- tique SMTRT a choisi IzyPro, le WMS d’Acsep, pour piloter son entrepôt de Montargis (45). Cette solution centralise l’ensemble des informations et réduit les divergences et le taux d’erreurs. « Sa couver- ture fonctionnelle et le mode SaaS répondent aux besoins de l’utilisateur qui ne sou- haitait pas avoir d’équipe et d’infrastructure IT trop impor- tantes », souligne l’éditeur. Le site de 20.000 m² sur lequel travaillent une douzaine de collaborateurs, traite actuelle- ment une dizaine de clients parmi lesquels Antartic, un distributeur de boissons non alcoolisées et Hutchinson. Au total, il gère quelques 4.600 références hétérogènes et présentant un certain nombre de contraintes prises en charge par l’outil : date de péremption,


date limite de


vente, gestion à l’unité, vrac, big bags, gestion du poids des


références, gestion en


FIFO, numéros de lots et de série SSCC, etc. « Parmi nos projets à moyen terme, nous envisageons de construire de nouveaux bâtiments sur Mar- seille et nous y déploierons sans doute IzyPro », confi e Thomas Pellegrin, Directeur Général de SMTRT.  JPG


Transitic acquiert Matrix-Sync


Matthieu Torras et Frédéric Weber


près une phase d’incertitudes marquée notamment par son redressement judiciaire, Matrix-Sync a trouvé un repreneur. C’est Transitic, spécialiste des solutions de tri, manutention et stockage automatisés, qui fi nalise l’acquisition de cette société spécia- lisée dans le déploiement de logiciels dédiés à la Supply Chain et au e-commerce. Ensemble, Frédéric Weber (PDG de Transitic) et Matthieu Torras (PDG de Matrix-Sync) souhaitent proposer au marché, une plate-forme qui comprend tous les composants d’un fl ux e-commerce et qui synchronise toutes les opérations depuis la prise de commandes via une boutique en ligne, jusqu’à la livraison au client fi nal. « Avec OpenWCS, lancée l’année dernière, nous avions déjà fait le pari d’une technologie ouverte et d’une solution de pilotage et de supervision à distance des entrepôts automatisés », indique Frédéric Weber. « Avec Flux-Sync, nous avions déjà consti- tué pour nos clients un catalogue de composants Supply Chain et travaillé à l’automatisation du paramétrage de nos solutions, précise pour sa part Matthieu Torras. Les nouvelles tech- nologies telles que le smart data, les machines connectées, la maintenance prédictive et la digitalisation des pro- cessus permettront d’avoir des outils de production plus fl exibles, plus per- sonnalisables tout en réduisant les temps d’exécution et donc les coûts », conclut-il.  JPG


A


Près de la moitié des chargeurs ont un projet de digitalisation transports


47%


des chargeurs ont un projet de digitalisation transport selon une étude du cabinet de conseil BP2R et de l’AUTF auprès de 137 chargeurs membres de l’Association des Utilisateurs de


Transport de Fret. 91 % du panel estime que la digitalisation du transport est un vecteur d’amélioration du taux de service. 54 % utilisent un système de gestion du transport (87 % parmi celles ayant un budget transport dépassant 100 M€). C’est un module d’ERP qui est le plus utilisé pour gérer le transport, devant Excel (53 %) et le WMS (44 %). Seuls 13 % utilisent une plate-forme collaborative transport, 15 % une station chargeur pour gérer leurs expéditions. Les freins à la mise en place d’un TMS sont le coût, la diffi culté de mise en place et le manque d’information. Pierre Fouère, Responsable ventes Supply Chain d’Oracle, lors de la conférence de présentation de l’étude remarque que « le secteur le plus avancé est la chimie, la distribution est bien équipée, tandis que l’agro-industrie rattrape son retard ». Jérôme Bour, PDG de l’éditeur spécialisé DDS Logistics, analyse l’étude : « Il faut envisager un TMS à partir d’un budget annuel transport de 3 à 5 M€. L’étude dénote une méconnaissance du R.O.I. du TMS ». Lucien Besse, Co-fonda- teur de la plate-forme Shippeo, ajoute : « Avec « l’effet Amazon », les chargeurs veulent améliorer leur niveau de service, notamment autour de la prestation trans- port. C’est ce qui conduit les projets de digitalisation actuels, plus que la maî- trise des coûts de transport ». Yvan Keller, Directeur du pôle solutions de BP2R, recommande aux chargeurs, en amont du projet, de « voir de quoi vos clients ont besoin comme information, d’interroger vos transporteurs pour voir s’ils vont suivre. Ensuite, ce type d’outils vous permettra de piloter votre budget transport, de mesurer la performance et de partager l’information ».  CC


14 N°113  SUPPLY CHAIN MAGAZINE - AVRIL 2017


©JL.ROGNON


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