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technologie règne, et ce, en offrant des outils pour que les praticiens sachent s’adapter. Après tout, « Internet est là et ne disparaîtra pas, alors c’est à nous de changer et de déve- lopper notre capacité d’adaptation comme praticiens dans un monde numérique (traduction libre) » [1].


Ces lignes directrices se veulent des recom- mandations visant à éclairer les conseillers et les psychothéra- peutes dans leurs décisions quant à leur usage des techno- logies. Bien qu’ils ne soient pas obligés de les suivre, il reste que ces lignes directrices cons- tituent un outil indispensable pour tout professionnel souhai- tant pouvoir s’adapter dans sa pratique.


ÉLABORATION DES LIGNES DIRECTRICES


Section et des membres de l’ACCP par divers moyens (présentation par affiche, cueillette de commentaires écrits et atelier avec les membres).


QU’AVONS-NOUS APPRIS?


Selon vous, sur le plan de la sécurité et de la protec- tion de la vie privée, qu’est-ce que les con-


seillers et les psychothé- rapeutes doivent abso- lument savoir?


En vue de l’élaboration de nos propres lignes directrices, nous avons effectué une revue de la littérature ainsi qu’un examen des lignes directrices et des normes de pra- tique existantes concernant le recours aux technolo- gies en counseling et en psychothérapie. Nous avons tenu une discussion en table ronde avec un groupe d’experts multidisciplinaire, chacun ayant son propre bagage d’intérêts et de compétences en lien avec les questions juridiques et éthiques, ainsi que des ex- perts de la fourniture de services, de logiciels et de matériel. Nous avons élaboré les lignes directrices à la lumière de leurs conseils et renseignements les plus pertinents.


Le groupe de discussion s’est principalement penché sur la question que voici : Selon vous, sur le plan de la sécurité et de la protection de la vie privée, qu’est-ce que les conseillers et les psychothérapeutes doivent absolument savoir?


Au printemps 2017, nous avons sondé les membres de l’ACCP, dans le but d’étudier la profondeur et l’étendue de leurs connaissances sur l’utilisation des technologies en counseling et en psychothérapie. Nous voulions aussi mieux comprendre leurs besoins et leurs préoccupations à ce niveau. Une fois que nous avons eu en main une première version provi- soire, nous avons demandé l’avis de la direction de la


D’abord et avant tout, les conseillers et les psycho- thérapeutes utilisent déjà les technologies en séance et en supervision. Deux nécessités sont clairement ressorties de notre recherche, de notre discussion avec les panélistes et du sondage au- près des membres : d’abord, nous devons savoir comment utiliser les technologies; en- suite, nous devons connaître les risques que comporte leur usage et savoir comment les atténuer. Nous avons aussi ap- pris ceci grâce au sondage et au panel de discussion :


 En ce moment, les outils les plus couramment utilisés pour communiquer avec les


clients sont le courriel et le téléphone (cellulaire ou intelligent).


 Les technologies les plus couramment utilisées pour offrir des services de counseling ou de psy- chothérapie sont la webcam/vidéoconférence et le téléphone (cellulaire ou intelligent).


 Ce n’est pas tout le monde qui utilise des me- sures de sécurité, même les plus simples, pour protéger les données des clients.


 Plus de la moitié des répondants ne disposent pas de politique pour les médias sociaux, bien que tous aient indiqué qu’ils les utilisaient.


 Les principales préoccupations des cliniciens étaient la sécurité des technologies, la confi- dentialité et la question de la compétence. Il est intéressant de noter qu’aucune préoccupa- tion n’a été exprimée au sujet du potentiel des technologies sur le plan relationnel.


 Il nous faut comprendre quelles sont nos responsabilités en vertu de la loi, puis viser une norme plus stricte encore.


 Il faut « bien » faire les choses, c’est-à-dire en


[1] Weitz, P. Ed. (2014) Psychotherapy 2.0: Where Psychotherapy and Technology Meet. Karnac Books, London, UK p. 12 L’ASSOCIATION CANADIENNE DE COUNSELING ET DE PSYCHOTHÉRAPIE


ÉTÉ 2019


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