En 2014, Lynn, de Queensland, fut la deuxième personne à être accusée. Elle aussi plaida coupable en première instance. Verdict : engagement à 2 ans de bonne conduite assorti de 12 mois de mise à l’épreuve. Pas de condamnation. Voir: http://bit.ly/1r9q78v
La troisième personne, Rupert, la soixantaine, habitant à Albany, une petite ville dans l’ouest de l’ Australie. En août 2014, accusé d’être en possession de 12g de poudre de Nembutal, Rupert plaida coupable. Verdict : une amende de 1400 dollars australiens. Pas de condamnation. Voir: http://ab.co/1wMPY6L
En avril 2016, au Royaume-Uni, une personne a été accusée d’être en possession ou d’avoir importé du pentobarbital. Les aspects juridiques de l’importation ou de la possession de pentobarbital sont différents d’un pays à l’autre. Pour plus de clarté, consultez un avocat du pays.
Récemment, un coordonnateur d’Exit de Wellington a été reconnu coupable de l’importation de Nembutal à deux reprises en Nouvelle Zélande.
Pénurie mondiale de Pentobarbital
Une pénurie mondiale de pentobarbital vétérinaire s’annonce tranquillement depuis le milieu de 2021. On la doit à la pandémie, tout d’abord, mais aussi à un incident catastrophique survenu, rapporte- t-on, sur l’un des deux sites mondiaux de fabrication de pentobarbital (voir : https://bit.ly/vetshortage). La pénurie avance depuis des mois mais ce n’est qu’au deuxième trimestre de 2022 que les pleines conséquences du manque d’approvisionnement se font sentir. Si l’on peut encore trouver du pentobarbital en vente libre dans certains pays d’Amérique du Sud, s’en procurer sur Internet devient problématique. Les gens qui en font (illégalement) commerce ne peuvent s’approvisionner.