Courir, marcher ou rouler pour aider les réfugiés
Opani, transporte sa fille Brenda, le long d’une route de terre au camp d’Imvepi en Ouganda.
Deux milliards de kilomètres. C’est la distance parcourue par les réfugiés chaque année dans le monde pour atteindre la sécurité.
Ils se déplacent souvent à pied, avec peu d’accès à la nourriture, à l’eau ou à un abri sûr en cours de route. Les réfugiés sont forcés d’apporter seulement ce qu’ils peuvent transporter, laissant le reste de leur vie derrière eux et avançant vers un avenir incertain.
La campagne 2 milliards de kilomètres vers la sécurité du HCR est une façon pour nous tous de montrer notre solidarité aux réfugiés du monde entier et d’amasser des fonds pour leur offrir une protection et de l’aide d’urgence, notamment des abris, de la nourriture, de l’eau et des soins médicaux.
« Trois étapes faciles pour participer
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Créez un compte C’est facile. Il suffit de répondre à quelques courtes questions sur
marcheraveclesrefugies.ca
Synchronisez vos kilomètres Utilisez l’application Fitbit ou Strava pour relier vos pas à la cible du HCR. Vos kilomètres s’additionneront automatiquement. (Vous n’avez pas d’application de ce type? Pas de problème. Vous pouvez ajouter vos kilomètres manuellement sur notre site web.)
Commencez à bouger Courez, marchez ou roulez en solidarité avec les réfugiés. Toutes les distances parcourues comptent pour atteindre l’objectif global de deux milliards de kilomètres.
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Opani et Brenda, finalement en sécurité dans un camp en Ouganda après avoir parcouru près de 100 kilomètres à pied depuis le Soudan du Sud.
Le parcours d’Opani
Opani et sa fille Brenda ont été forcées de partir de leur maison à Morobo dans le Soudan du Sud pour se rendre en Ouganda, après qu’Opani ait entendu dire que des hommes allaient de maison en maison dans son village pour tuer tous ceux qu’ils trouvaient.
Opani a voyagé à pied en transportant Brenda, marchant sept jours et parcourant 96 kilomètres jusqu’à ce qu’elle puisse atteindre la sécurité au camp d’Imvepi en Ouganda.
Pendant son déplacement, elle a dormi dehors, vulnérable aux attaques, avec Brenda à ses côtés.
« Nous avons dormi sous un arbre. Vous dormez avec un oeil ouvert », se souvient Opani.
Elles ont survécu en mangeant des baies sauvages qu’elles ont trouvées en cours de route.
Le septième jour, elles sont arrivées au centre d’enregistrement du HCR à la frontière ougandaise, où elles ont reçu de la nourriture, un examen médical et un abri d’urgence.
Marchez en solidarité avec Opani
Le voyage d’Opani a été long et difficile. Elle a été forcée de tout laisser derrière elle et de recommencer sa vie dans un endroit inconnu. En participant, vous montrez votre solidarité avec les réfugiés comme Opani. Inscrivez-vous dès aujourd’hui.
©UNHCR/David Azia
©UNHCR/David Azia
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