search.noResults

search.searching

dataCollection.invalidEmail
note.createNoteMessage

search.noResults

search.searching

orderForm.title

orderForm.productCode
orderForm.description
orderForm.quantity
orderForm.itemPrice
orderForm.price
orderForm.totalPrice
orderForm.deliveryDetails.billingAddress
orderForm.deliveryDetails.deliveryAddress
orderForm.noItems
Yuletzi Salazar (à gauche), une vénézuélienne de 20 ans, arrive à Lago Agrio, en Équateur, avec ses jeunes enfants et son père Fabián âgé de 48 ans. L’Équateur a une longue tradition d’accueil de réfugiés et est maintenant le troisième pays hôte en Amérique du Sud, derrière la Colombie et le Pérou, pour les vénézuéliens. C’est également un pays de transit, avec des centaines de milliers de personnes qui poursuivent leur chemin. Aux points d’entrée de la frontière, le HCR offre de l’aide humanitaire, des abris et une aide monétaire aux nouveaux arrivants, dont certains sont très vulnérables et ont des besoins particuliers ou des handicaps.


Venezuela : les visages d’un pays en crise


Plus de trois millions de vénézuéliens vivent à l’extérieur de leur pays d’origine, il s’agit du plus grand exode de l’histoire récente de l’Amérique latine.


L’inflation galopante, le manque de nourriture, de médicaments et de services sociaux, la violence et l’insécurité ont poussé de nombreux vénézuéliens à partir (une moyenne de 5 000 par jour). Cette crise a forcé de nombreuses personnes à chercher de meilleures conditions et la sécurité à l’extérieur des frontières du Venezuela.


Le HCR a accentué sa réponse pour appuyer les efforts faits par les pays voisins en offrant une aide immédiate, notamment de l’eau, de la nourriture et des abris, en plus d’évaluer les besoins en matière de protection et d’autres services essentiels.


Voici un aperçu des personnes touchées par la crise en cours, et de la façon dont le HCR fait tout ce qui est possible pour appuyer les personnes en déplacement.


« 18 |


(À droite) Johnny José Gonzalez visite le centre d’accueil transitoire à Sao Paulo, au Brésil. L’homme âgé de 50 ans possédait sa propre entreprise de construction. Il travaille dans un entrepôt comme assistant depuis cinq mois, son premier travail depuis son arrivée au Brésil il y a huit mois avec son fils et son beau-fils. « Le Venezuela s’effondrait », explique-t-il. « Il n’y avait pas de travail, pas de nourriture, pas de médicament. J’ai dû vendre tout ce que j’avais, ma maison, ma voiture, pour pouvoir me rendre au Brésil afin de m’occuper de ma famille. Je n’avais pas d’autre choix. »


(Ci-dessous) Plus de 600 000 réfugiés et migrants du Venezuela sont arrivés au Pérou au cours des dernières années. Ils sont nombreux à ne pas avoir les ressources nécessaires pour trouver un endroit où dormir. Le peuple péruvien a joué un rôle clé pour aider à protéger les plus vulnérables à la recherche de sécurité.


©UNHCR/Gabo Morales


©UNHCR/Elisabet Diaz Sanmartin


©UNHCR/Santiago Escobar-Jaramillo


Page 1  |  Page 2  |  Page 3  |  Page 4  |  Page 5  |  Page 6  |  Page 7  |  Page 8  |  Page 9  |  Page 10  |  Page 11  |  Page 12  |  Page 13  |  Page 14  |  Page 15  |  Page 16  |  Page 17  |  Page 18  |  Page 19  |  Page 20  |  Page 21  |  Page 22  |  Page 23  |  Page 24  |  Page 25  |  Page 26  |  Page 27  |  Page 28