(À gauche) « J’ai seulement pu apporter la glacière avec nous, le reste a été perdu. » Maryory possédait un salon de coiffure et une entreprise de restauration avec sa partenaire, Dayana, au Venezuela. Ces femmes et leurs deux enfants ont été forcés de fuir et de recommencer leur vie à Lago Agrio, en Équateur. Malgré la peur de la discrimination, elles sont déterminées à ce que leurs enfants recommencent l’école et accomplissent de grandes choses.
(Ci-dessous) Yaniz boit un verre d’eau dans la maison de Graciela Sanchez. Graciela est une colombienne déplacée interne qui héberge Yaniz et cinq autres familles vénézuéliennes dans la communauté de Las Delicias à Cúcuta, près de la frontière vénézuélienne. Le HCR a appuyé la légalisation de ce campement officieux et a travaillé sur des projets comprenant des moyens de subsistance, des logements et des soins de santé.
©UNHCR/Fabio Cuttica
(À droite) Une jeune vénézuélienne récemment arrivée dans le nord du Brésil complète son enregistrement biométrique. Les demandeurs d’asile qui arrivent à l’unité d’enregistrement P-Trig dans la ville de Boa Vista reçoivent le service d’identification biométrique complet, comprenant une entrevue, des balayages de l’iris, la prise de photo et d’empreintes digitales, et l’émission d’une carte d’identification d’asile du HCR. Les cartes sont essentielles pour ceux qui souhaitent accéder à un abri du HCR.
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©UNHCR/Allana Ferreira
©UNHCR/Santiago Escobar-Jaramillo
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