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(À gauche) Amouna, une enfant syrienne déplacée, sourit pour son premier jour d’école en trois ans. Amouna explique :


« Il y a quelques années, nous venions en classe ici, mais l’école a été détruite. Maintenant, c’est à nouveau un endroit magnifique. » Après la destruction de centaines d’écoles à travers la Syrie, des milliers d’enfants étaient privés d’une éducation adéquate. Pour remédier à la situation, le HCR et ses partenaires ont œuvré à la remise en état des écoles, y compris celle d’Amouna à Tal Estabel, afin que les enfants puissent avoir un endroit sûr où étudier.


Visages de Syrie


(À droite) Elham, une mère de 30 ans déplacée avec sa famille à Katrji en Syrie, se bat pour que ses quatre enfants puissent recevoir une éducation. N’ayant elle-même pas pu terminer l’école secondaire (elle a été mariée à l’âge de 13 ans), Elham n’a été scolarisée que jusqu’en sixième année. La guerre a éclaté en Syrie alors que ses enfants étaient encore petits, et elle n’a pas pu les envoyer à l’école pendant six ans. « Le regard de mes enfants me brisait le cœur. Je voyais qu’ils attendaient quelque chose et je ne pouvais pas leur donner ce qu’ils voulaient. » Et puis, Elham a décidé de prendre les choses en main. Elle s’est inscrite à un cours d’alphabétisation à Alep et fait maintenant la classe à ses propres enfants.


(Ci-dessous) Um Nour, une Syrienne déplacée, travaille dans sa cuisine, transformée en atelier de réparation. Grâce à une subvention du HCR, elle a pu ouvrir un atelier de réparation qui lui permet de subvenir aux besoins de ses enfants et de son mari malade, alors que le chômage et l’endettement engendrés par la guerre en Syrie ont fortement touché son village d’Al Shikh Khuder. « Avant, je n’achetais des vêtements neufs pour mes enfants que tous les trois ans, mais maintenant nous pouvons le faire pour chaque fête de l’Aïd », dit-elle avec un large sourire.


(Ci-dessus) Osman, un réfugié syrien de cinq ans originaire de Ras el Ein, est arrivé en Irak avec sa mère enceinte et son jeune frère, Jamsheet. Ils sont arrivés au camp de réfugiés de Gawilan sans rien, et à part les denrées alimentaires et les fournitures qu’ils ont obtenues du HCR, leur tente est vide. La mère d’Osman explique : « Je ne pouvais rien porter sur moi. La priorité était de s’en sortir vivant. »


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©UNHCR/Antwan Chnkdji


©UNHCR/Antwan Chnkdji


©UNHCR/Bathoul Ahmed


©UNHCR/Antwan Chnkdji


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