Plusieurs devis ont été établis allant de 805 à 3.200 euros HT. S’agissant d’un cadeau que nous voulions faire au patrimoine communal, le prix n’était pas le critère essentiel. C’est donc par choix de la qualité que nous avons retenu l’entreprise de Benoît Hérouard, un jeune gersois de Pouy- Roquelaure titulaire d’un brevet de maîtrise en ferronnerie d’art qui vient de s’associer pour créer à Toulouse la société Sandor-Weltmann1
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Qu’est devenue la pierre gravée originelle ? Nous avons proposé de la remettre à la commune. Cette dernière ayant décliné l’offre, la pierre a été déposée au pigeonnier
Pourquoi le changement de couleur ? Il était prévu de conserver le vert-jésuite d’origine. Une fois passée la couche de protection, Benoît Hérouard nous a indiqué que le gris semblait mieux convenir, d’autant que la croix se confondrait moins avec le cyprès voisin. Demande transmise aux autorités municipales qui ont accepté.
Pourquoi pas de couleurs vives sur le coq ? Nous voulions que la restauration reste discrète et que le coq paraisse en place depuis toujours.
Pourquoi pas un coq-girouette ? L’inventaire réalisé par Annie Castan l’atteste, ces coqs ne faisaient pas office de girouette. Du reste les croix ne sont pas toutes exposées aux vents. Ne pas confondre avec les coqs surmontant les clochers.
1. Nom tiré d’un des personnages du Docteur Mabuse de Fritz Lang, la société a une autre face : la technique de prise de vue pour le cinéma
entièrement versé en 2009 à la commune N°34 ● MAIGNAUT PASSION Info ● 7